
Des données qui font sens
Un bon entraînement commence par des données fiables et mesurables.
Mais pour faire une vraie différence, elles doivent aussi être claires, concrètes et directement exploitables.
C’est notre vision : rendre la physiologie utile.
Le but n’est pas de remplacer ce que vous utilisez déjà, mais de l’enrichir. D’ajouter une couche de précision, pour mieux comprendre ce que votre corps fait à l’effort — et mieux orienter ce que vous lui demandez.
Ce que nos tests mesurent
Les seuils physiologiques
Le seuil 1, le premier point de rupture !
Le seuil 1 correspond à l’intensité à partir de laquelle on observe les premiers signes mesurables d’instabilité physiologique :
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légère augmentation de la production de lactate,
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augmentation plus marquée de la ventilation,
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et début du recrutement accru de fibres musculaires rapides.
👉Sous ce seuil, l’organisme fonctionne presque exclusivement sur des voies aérobies stables.

Décrit la limite supérieure de la basse intensité.

Décrit la limite supérieure de la basse intensité.
Les benefices de l'entrainement proche du seuil 1 :
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Développement de la densité mitochondriale (plus de "centrales énergétiques" dans tes muscles).
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Amélioration de l'utilisation des lipides comme carburant principal
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Renforcement du réseau capillaire musculaire
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Amélioration de l'économie (tu consommes moins d’énergie pour avancer à la même vitesse.)
Le seuil 2 : le point où tout s'accelère !
Dans la littérature, on distingue généralement deux grands types de seuils 2 physiologiques :
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Le seuil ventilatoire (RCP)
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Le seuil métabolique (MLSS)
📌 Le RCP (Respiratory Compensation Point) représente l’intensité maximale que l’on peut maintenir environ 20 à 30 minutes.
On parle souvent de seuil "haut".
👉 Ce seuil marque le basculement vers des intensités où la fatigue et la dérive métabolique deviennent très rapides.

Décrit la limite inférieure de la haute intensité (HIIT)

Le Maximal Lactate Steady State

Décrit la limite inférieure de la haute intensité (HIIT)
Juste en dessous, le MLSS : l'équilibre critique du lactate 🩸
Le MLSS correspond à l’intensité maximale à laquelle la production de lactate et son élimination restent en équilibre. Au-delà de ce point, le lactate s’accumule de manière continue, rendant l’effort rapidement insoutenable.
C'est couramment présenté comme le seuil "bas".
Les benefices de l'entrainement MLSS :
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Amélioration de la gestion et de l’élimination du lactate.
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Stabilisation de l’effort à haute intensité sur des durées prolongées.
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Développement de la résistance métabolique avant la dérive physiologique.
Bénéfices de l’entraînement autour du RCP :
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Amélioration de la tolérance à l’acidose.
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Développement de VO2max.
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Développement de la capacité à soutenir des intensités proches du maximum.
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Repousse le seuil de rupture ventilatoire sur des efforts soutenus.
VO2max
Ce seuil représente l’intensité maximale que l’on peut maintenir environ 5 à 15 minutes. Au-delà, l'effort devient insoutenable.

Représente la capacité maximale aérobie.

Représente la capacité maximale aérobie.
Les benefices de l'entrainement VO2max :
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Augmentation du débit cardiaque maximal (ton cœur devient plus puissant et envoie plus de sang par battement)
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Amélioration de la capacité de transport de l’oxygène (Ton sang devient plus efficace pour amener l’oxygène là où il faut.)

À VO₂max équivalent, l’économie de course fait la différence

À VO₂max équivalent, l’économie de course fait la différence
Le cout énergétique
Le coût énergétique correspond à la quantité d’énergie nécessaire pour courir à une vitesse donnée (exprimée en mL O₂ / kg / km ou en kcal / km).
👉 À vitesse égale, un coût plus bas signifie une meilleure économie de course, donc une dépense énergétique moindre pour un même effort.
C’est un facteur clé de performance, notamment sur les distances longues, où la gestion des réserves énergétiques devient déterminante.
Ce n’est pas seulement une question de “capacité”, mais aussi de qualité d’utilisation de l’énergie. Optimiser l'économie, c’est gagner de la vitesse sans augmenter l’effort !


Les zones d'entrainement
Les zones d’entraînement correspondent à des intensités d’exercice spécifiques, définies dans le but de provoquer des adaptations physiologiques ciblées.
L’utilisation des zones d’entraînement permet aux sportifs, entraîneurs et professionnels de santé d’orienter avec précision les programmes d’exercice afin d’optimiser les adaptations physiologiques.
Télécharge ta fiche pédagogique des zones d'entrainement.
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Ce que vous recevez concrètement
Chaque test donne lieu à un compte-rendu clair, personnalisé et rapidement exploitable.
L’objectif : transformer vos réponses physiologiques en repères concrets pour structurer votre entraînement avec précision.
📄 Un compte-rendu structuré et compréhensible
Vous recevez un document complet au format PDF, reprenant l’ensemble des mesures et leur interprétation :
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Vos seuils ventilatoires (SV1 et SV2), avec les vitesses, puissances ou fréquences cardiaques associées
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Votre VO₂max, contextualisé (pas seulement un chiffre isolé)
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Vos zones d’entraînement personnalisées, construites à partir de vos données, pas de pourcentages standards.
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Une analyse synthétique de votre profil physiologique : ce qui ressort, ce qui peut être travaillé.
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Un tableau qui regroupe les intervalles d’entraînement recommandés selon votre profil.

🧭 Des repères clairs pour guider votre entraînement
À l’issue du test, vous saurez précisément :
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Quelles intensités travailler pour améliorer votre profil.
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Comment répartir vos séances selon vos objectifs (hors saison ou compétition…)
Notre but : vous faire gagner en efficacité, pas ajouter de la complexité inutile.
🔁 En option (selon la formule)
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Planification préconisée sur 6 semaines (hors saison et en saison)
