Performance

Le fonctionnement de l'oxymétrie

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« Le tout est plus que la somme de ses parties ». Tu connais cette citation ? Parce qu’elle est transversale dans le milieu du sport. Tu peux te concentrer autant que tu veux sur des indicateurs globaux, ils te donnent simplement une information sur l’activité des indicateurs plus spécifiques. Les indicateurs globaux certifient la progression générale de l’athlete. Mais ne la caractérisent pas. Les deux indicateurs possèdent leurs points forts et faibles. Ne me fais pas dire ce que j’ai pas dis. Mais au meme titre que l’entrainement articulaire, j’estime que la prise en compte de chaque partie possède le mérite de contextualiser la performance globale. C’est pour ça que je trouve l’oxymetrie assez incroyable et je pense que ça constitue un outil d’avenir, qu’on finira par maitriser, malgré la complexité des informations du moment. Pleins de questions emergent. Par exemple, comment caractériser la VO2 max, un indicateur mêlant périphérie et central, si tu ne peux pas evaluer les deux parties ? Comment utiliser la lactatemie (souvent systémique) et convenir de ce qui se passe dans le muscle ? Y’a un équilibre dans tout ça car chaque indicateur possède du sens. Surtout s’il est fait de manière régulière. Oxymetrie X Vo2max X lactatemie, combiné à une gamme différente de tests (triangulaires, rectangulaires ; maximaux et sousmaximaux..) augmentent les chances de définir ce qui limite la performance d’un athlète. J’en suis persuadé.